Par Marilyn Adamson
Noël. Potentiellement excitant, stressant ; source de beauté, d’émotions de solitude, et parfois de drame.
Tu peux expérimenter une vraie joie pendant Noël, quoi qu’il arrive autour de toi. C’est possible !
Remontons le temps. Eliminons le commerce et le matérialisme. Noël célèbre Jésus-Christ et sa naissance. Mais pourquoi le célébrer ?
Il n’était ni roi, ni riche, il n’a renversé aucun gouvernement, conquis aucun territoire, ni créé quoi que ce soit dans le domaine des arts ou du commerce.
Il est né dans la famille d’un charpentier, dans l’obscure petite ville de Bethléem, non loin de Jérusalem.
Cependant, ce Jésus a prétendu être Dieu.
Il a proclamé aux gens le pardon de leurs péchés. Il leur a offert la « vie abondante » dans l’immédiat et la vie éternelle dans le futur, en disant : « Le chemin, c’est moi parce que je suis la vérité et la vie. Personne ne va au Père sans passer par moi1. »
Il ne se présenta pas comme une option parmi d’autres.
Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde, celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres : il aura la lumière de la vie2. »
Nobles affirmations !
Beaucoup de gens sont prêts à lui reconnaître un statut d’enseignant inspiré, peut-être même de prophète, mais comment réagir si ce Jésus dont nous célébrons la naissance était vraiment le Messie ? Dieu parmi nous sous forme humaine, comme tous les prophètes de l’Ancien Testament l’ont présenté ?
Le prophète Michée a dit que le Messie naîtrait à Bethléem. Esaïe a dit qu’il exercerait son ministère en Galilée et mourrait sous la torture. Et ainsi de suite. Bien plus de cent prophéties spécifiques pour aider les gens à identifier le Messie à venir. Jésus a réalisé chacune d’elles. La probabilité pour une personne d’accomplir même seulement huit de ces prophéties est de 1 sur 100 000 000 000 000 0003.
Lors d’une étude biblique, j’ai rencontré une femme juive qui m’a dit combien elle avait prié chaque jour jusqu’au désespoir afin de trouver comment avoir une relation personnelle avec Dieu. La pensée même que le Christ pourrait être le Fils de Dieu, le Messie, l’effrayait. « O Dieu, priait-t-elle souvent, s’il te plaît, sois quelqu’un d’autre que Jésus4. » Mais dans sa recherche, tout pointait vers Jésus, et aujourd’hui, c’est avec joie qu’elle se proclame son disciple.
Qu’est-ce qui pousse les gens aujourd’hui, en Inde, en Chine, au Moyen-Orient et dans le monde entier à adorer ce Jésus ? Qu’est ce qui le rend si attractif ?
Au début, les gens ont suivi Jésus à cause de sa compassion et des miracles qu’il accomplissait pour répondre aux besoins des gens.
Il a rendu la vue aux aveugles, il a fait marcher les paralytiques. Grâce à lui, les personnes atteintes de maladies mentales pouvaient raisonner sainement. Il est dit : « Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages… et guérissait toute maladie et toute infirmité5. »
Et le pouvoir de guérison de Jésus allait bien au-delà du domaine physique. Il comblait de profonds besoins émotionnels. A un paralytique, Jésus a dit : « Prends courage, tes péchés sont pardonnés. » Les gens se sont hérissés à cette parole de Jésus « C’est un blasphème ! Qui peut pardonner les péchés si ce n’est Dieu seul ? »
Jésus leur répondit : « Eh bien, vous saurez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés… il dit au paralysé : je te l’ordonne, lève-toi, prends ton brancard et rentre chez toi. Le paralysé se leva et s’en alla chez lui6. » Cela a clos la discussion.
Jésus s’est adressé à une femme qui en était à sa sixième union après avoir eu cinq maris, et l’a mise au défi d’expérimenter l’amour de Dieu pour que sa soif d’amour soit satisfaite. A d’autres, il a offert la paix au milieu des difficultés. « Dans le monde vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde7. » Il s’est positionné comme plus fort que nos problèmes, capable de répondre à nos besoins.
Qui ne voudrait pas être déclaré pardonné ? Ne voudrais-tu pas que tous tes péchés soient effacés ? Qui ne voudrait pas de paix ou de joie ? Jésus a donné aux gens une toute nouvelle vie. Les prophètes et les enseignants ne pouvaient pas faire cela, mais Jésus a dit : « Moi, je suis venu afin que les hommes aient la vie, une vie abondante8. »
Pas étonnant que les gens l’aient suivi.
Mais Jésus est bien plus qu’un faiseur de miracles. Une authenticité se dégage de son caractère et de ses paroles, ce qui a donné aux gens d’alors et d’aujourd’hui des raisons de lui faire confiance.
Lors d’une confrontation, il a invité ses plus grands détracteurs à nommer tout péché qu’ils auraient pu voir dans sa vie. Et ils sont restés sans voix. Une autre fois, des soldats ont été envoyés pour arrêter Jésus et ils sont revenus les mains vides. Lorsque leurs supérieurs ont demandé des explications aux gardes, ceux-ci ont simplement dit : « Personne n’a jamais parlé comme cet homme9. »
Jésus a immédiatement fait cesser une tempête qui faisait rage. Les autres occupants du bateau, étaient remplis de crainte et se disaient : « Qui est donc cet homme pour que même le vent et le lac lui obéissent ?10 »
Jésus a dit clairement qui il était. « Moi et le Père, nous ne sommes qu’un. Si je n’accomplis pas les œuvres de mon Père, vous n’avez pas besoin de croire en moi. Mais si, au contraire, je les accomplis... pour que vous reconnaissiez et que vous compreniez que le Père est en moi et que je suis dans le Père11. » Son public a-t-il compris son message ? Sans aucun doute ! « Cette remarque fut pour eux une raison de plus pour chercher à le faire mourir… il appelait encore Dieu son propre Père et se faisait ainsi l’égal de Dieu12. »
Jésus s’est tellement identifié à Dieu qu’il a dit que le connaître, c’était connaître Dieu13, le voir, c’était voir Dieu14, croire en lui, c’était croire en Dieu15, le haïr, c’était haïr Dieu16, l’honorer, c’était honorer Dieu17.
Maintenant, je dois intervenir ici, en tant qu’ancienne athée inconditionnelle. Je pensais, en effet, que les gens croyaient en Dieu simplement par besoin. J’ai été stupéfaite quand quelqu’un m’a donné des preuves scientifiques claires de l’existence de Dieu et des faits tout aussi probants soutenant la divinité de Jésus18.
Pour apprécier vraiment toute la célébration de Noël, il faut comprendre qui est né ce jour-là.
Les chants de Noël prennent soudain toute leur signification « Joie dans le monde, le Seigneur vient. » Jésus n’était pas un autre prophète ni un grand enseignant. C’était Dieu se révélant à nous comme l’un des nôtres.
La question est de savoir pourquoi Jésus est venu sur terre. Quel était son programme, son but ?
Tu sais combien la vie peut parfois sembler insipide, sans véritable sens. Même si à Noël, nous pouvons enfin recevoir le cadeau que nous voulions depuis juillet, la vie peut encore manquer de profondeur. C’est parce que Dieu a créé nos vies pour être plus épanouies en relation avec lui. Jésus nous donne cette relation : « A tous ceux-là, il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu19. »
Pour être honnête, beaucoup de gens essayent d’approcher Dieu de la mauvaise façon. Ils essayent de gagner l’acceptation de Dieu en vivant une « bonne » vie. Puis ils raisonnent avec lui : « Dieu, j’ai essayé d’être une bonne personne. J’ai essayé d’être gentil et généreux. Je suis parfois allé à l’église. J’ai prié et je n’ai jamais tué personne. » Ça m’a l’air bon.
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Mais du point de vue de Jésus, quel type de vie aurions-nous dû vivre ? Jésus a dit : « Votre Père céleste est parfait. Soyez donc parfaits comme lui20. »
Prends ton courage à deux mains et voyons jusqu’où va ta perfection.
Imagine-toi essayer pendant une journée entière de ne pas porter de jugement. En ce qui me concerne, je devrais éviter totalement le contact avec tout le monde pour la journée, surtout avec untel… oh, tant pis! Mais supposons que toi, tu essaies, que tu t’engages dans des conversations sans pouvoir éviter d’entendre pour la 37ème fois combien ils ont réussi à boire d’alcool la nuit précédente sans penser des choses comme : « Quand allez-vous enfin devenir adultes ? »
Ou comment te comporterais-tu avec un groupe très diversifié de personnes engagées dans une discussion sur l’avortement, les droits civils, l’homosexualité ou la religion ? Penses-tu que tu pourrais t’abstenir de tout commentaire condescendant et dur ? Oui ? Et tes pensées ? Parfois, nous jugeons quelqu’un instantanément, presque sans réfléchir.
Imagine que ton prof entre dans la pièce avec un pantalon orange et un blazer en velours côtelé vert en plein mois de mai. Pour certains, inutile d’imaginer, c’est la réalité. Mais te moques-tu de lui avec ton pote ? Et si votre professeur suivait une chimiothérapie et n’avait pas d’argent pour s’habiller mieux ? Vous venez de le juger.
D’accord, arrêtons de culpabiliser.
Imaginons que tu aies essayé dur, que tu étais très concentrée et que tu aies réussi à ne pas juger quelqu’un pendant toute une journée. Cela ne t’aurait-il pas fait mal d’entendre autant de jugements de la part des autres ? Je sais que si j’essayais si fort, je développerais une attitude très louable, mais qui ne serait pas non plus conforme à la norme de perfection de Dieu, car la Bible dit que nous péchons tous. Ce qui n’est pas une surprise pour moi…
Mais ce qui m’a surprise, c’est que la Bible déclare que mon péché m’a séparée de Dieu. C’est comme un mur infranchissable. La Bible dit que : « Le salaire que verse le péché, c’est la mort21. » Ou la séparation éternelle d’avec lui.
Le numéro 1 sur l’agenda de Jésus en venant sur terre était de payer pour notre péché. La Bible dit : « Voici comment nous savons ce que c’est que l’amour : Jésus-Christ a donné sa vie pour nous22. » C’est comme la femme qui a été arrêtée pour conduite en état d’ivresse. Le juge l’a condamnée à 30 jours de prison avec sursis, assortis d’une caution de 1 500 €. Alors que la femme se lamentait à ce sujet, le juge s’est avancé, a sorti son chéquier et a payé la caution. Pourquoi ? Le juge était le père de cette femme. En tant que juge intègre, il ne pouvait ignorer la culpabilité de sa fille. Mais en tant que père aimant, il a payé la pénalité à sa place.
Si nous avions pu mériter une relation avec Dieu sur la seule base de notre vie, Jésus n’aurait pas eu besoin de venir dans ce monde, ni de mourir sur une croix pour nous.
Mais à cause de son immense amour pour nous, il a été torturé, fouetté, cloué sur une croix et est mort d’une lente suffocation. Trois jours plus tard, il est ressuscité des morts. Grâce à sa mort et à sa résurrection, il nous offre maintenant un pardon complet et une relation personnelle avec lui.
Mais, pour cela, nous devons accepter individuellement son cadeau. Je pensais qu’une relation avec Dieu est quelque chose d’aléatoire qui arrive à quelqu’un ou n’arrive pas, comme gagner à la loterie ou être frappé par la foudre. Mais en fait, c’est le fruit d’une décision personnelle.
Dieu nous offre une relation avec lui, mais c’est à nous de répondre ou non à son offre. Jésus a simplement dit : « Voici, je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi23. »
Lorsque nous répondons à cette offre et lui demandons de venir dans notre vie, nous commençons une relation avec Dieu qui durera éternellement. La Bible déclare : « Je vous écris cela, pour que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au Fils de Dieu24. »
Au lieu d’accumuler des connaissances au sujet de Dieu, nous commençons à le connaître personnellement et à expérimenter son amour inconditionnel pour nous.
Matthieu 1.18-21 : « Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or, elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit avant qu’ils n’aient vécu ensemble. Joseph, son futur mari, était un homme bon et droit. Il ne voulait pas la livrer au déshonneur. C’est pourquoi il se proposa de rompre ses fiançailles sans en ébruiter la raison. Il réfléchissait à ce projet quand un ange du Seigneur lui apparut en rêve et lui dit : - Joseph, descendant de David, ne crains pas de prendre Marie pour femme car l’enfant qu’elle porte vient de l’Esprit-Saint. Elle donnera naissance à un fils, tu l’appelleras Jésus. C’est lui en effet qui sauvera son peuple de ses péchés. »
Dieu a dit : « D’un amour éternel, je t’aime ; c’est pourquoi je t’attire par l’affection que je te porte25. » Quels que soient les problèmes ou les circonstances qui surviennent dans notre vie, nous avons de l’espoir, car nous connaissons la puissance de Dieu et sommes certains de son amour.
Ouvrir la porte et lui demander d’entrer dans notre vie ne signifie pas que nous sommes soudain devenus religieux. Cela signifie avoir une relation avec Dieu à son invitation. Jésus a dit : « C’est moi qui suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim, celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif26. »
Puisque je suis dans la publicité, je ne veux pas être coupable de « tromperie sur la marchandise ». Alors laisse-moi te poser cette question : accepter le don du pardon de Dieu et d’une relation avec lui signifierait-il que la vie deviendrait soudainement plus facile ? Non !
Je vais t’en donner un exemple : une année, à l’époque de Noël, j’étais enceinte de 8 mois de notre premier enfant. Et les choses n’allaient pas bien. Au cours de la grossesse, on m’avait dit que le fœtus avait de graves problèmes de santé. En considérant ces complications, comment pouvais-je comprendre cette parole qui dit que Jésus vient nous donner une vie abondante ?
Cela signifiait que je connaissais le Dieu de l’univers. Celui qui avait créé mon enfant et qui m’aimait infiniment. Je savais que Dieu tenait sa vie dans sa main puissante. Peu de temps après Noël, le travail a commencé et j’ai accouché d’une petite fille mort-née.
Je ne pleure pas facilement mais pendant les deux semaines qui ont suivi, j’ai beaucoup pleuré. Pourtant, tout au long de la grossesse traumatisante et dans la tristesse de la mort de notre bébé, Dieu m’a donné sa paix. Je n’ai jamais connu d’agitation, d’angoisse ou de ressentiment, ce qui aurait été naturel. Mais mon cœur était en paix.
Je ne sais pas pourquoi Dieu a permis la mort de notre bébé, mais je sais qu’il a ses raisons et qu’elles sont bienveillantes et justes. Après avoir vu Dieu à l’œuvre dans ma vie, je savais qu’on pouvait lui faire confiance. Il nous a pleinement protégés de la dépression, suite à la mort de notre petite fille. Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie27. »
Quoi qu’il arrive dans ta vie ce Noël, il n’y a pas de meilleur cadeau que tu puisses recevoir que celui de Jésus venu sur terre et mort à ta place. Il t’offre un pardon complet et la capacité de le connaître à un niveau personnel, ce qui se traduit par une vie plus épanouissante. Il est Dieu et il nous demande de placer notre vie sous sa direction. Tant que nous comptons sur notre bonne conduite et sur nous-mêmes, nous nous éloignons de Dieu et nous restons séparés de lui par notre péché. Il nous demande d’arrêter nos efforts et de recevoir à la place son pardon et une relation personnelle avec lui.
J’aimerais te donner dès maintenant l’occasion de l’inviter à entrer dans ta vie. Tu ne trouveras jamais une meilleure occasion de le faire.
Je vais t’aider à formuler ta prière. Tu pourrais lui dire par exemple : « Jésus, merci d’être mort pour mes péchés et d’en avoir payé le prix. J’ouvre la porte et je t’invite dans ma vie. Je veux te connaître. Merci d’avoir pardonné mes péchés et de me donner une relation éternelle avec toi. »
Si tu viens de demander à Jésus d’entrer dans ta vie, il promet de ne jamais te quitter. Il a dit (en parlant de nous comme de ses brebis) : « Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main28. »
A mon avis, l’un des meilleurs moyens de mieux le connaître est de lire l’Evangile de Jean, le quatrième livre du Nouveau Testament dans la Bible. Tu seras étonné mais quand je l’ai fait, c’était comme si Jésus me parlait directement, répondant à mes questions, comme lors d’une conversation intime autour d’un café. De plus, tu pourrais trouver utile de chercher une Eglise où la Bible est enseignée. Tu es également invité à t’inscrire à notre série de courriels gratuits sur l’Evangile de Jean.
Il n’y a pas de plus grande joie à Noël, pas de cadeau plus épanouissant, que d’entrer dans une relation personnelle avec Jésus. Tu pourrais attendre Noël, en ne dépendant pas de ce que fait ta famille ni des cadeaux que tu recevras, mais ayant la paix et la joie qui découlent d’une relation avec Dieu. Au lieu d’avoir une simple connaissance intellectuelle à son sujet, tu peux le connaître personnellement et comprendre le vrai sens de Noël… « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu’ils aient la vie éternelle29. »
Notes de bas de page : (1) Jean 14.6 (2) Jean 8.12 (3) Josh McDowell, A Ready Defense, (San Bernardino, California ; Here’s Life Publishers 1990) p. 213 (4) Erwin W. Lutzer, Christ parmi les autres dieux (Chicago ; Moody press, 1994) p. 100 (5) Matthieu 9.35 (6) Matthieu 9.6 et 7 (7) Jean 16.33 (8) Jean 10.10 (9) Jean 7.46 (10) Marc 4.41 (11) Jean 10.30, 37 et 38 (12) Jean 5.18 (13) Jean 8.19 ; 14.7 (14) Jean 12.45 ; 14.9 (15) Marc 9.37 (16) Jean 15.23 (17) Jean 5.23 (18) Pour des preuves, consulter questions2vie.com (19) Jean 1.12 (20) Matthieu 5.48 (21) Romains 6.23 (22) 1 Jean 3.16 (23) Apocalypse 3.20 (24) 1 Jean 5.13 (25) Jérémie 31.3 (26) Jean 6.35 (27) Jean 8.12 (28) Jean 10.27 et 28 (29) Jean 3.16